9 février 2009
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19:44
Roumaine, une jeune femme tel un nuage, passe sur le ciel de la vie. Immense canevas où les mots entrecroisent leurs fils colorés .
Musicienne, elle se laisse porter par les sons. Ceux au pafum "Air du temps". Ses intonnations chantent, roulent les r sur un ton espiègle et plein d'esprit .
Son regard, ses mots m'impressionnent. Ils sont ceux d'une étrangère face à mon écriture, à la mesure de mon existense, la sienne aussi...
De la nuance avant toute chose. De la musique des mots.
Le passé, l'avenir se mêlent et donnent le ton d'un présent indéfinssable dont pourtant la mèmoire se souvient.
Notes et regards s'égrènent sur une jeunesse, une silhouette quelque peu vaporeuse avant de sombrer vers l'âge mûr. Les yeus s'étiraient, brûlaient de fatigue sur l'infini... vers la comédienne... la maturité. Mais la peinture précéda les mots... L'art fut une renaissance...
Merci, Elena pour cette lecture approfondie et sensible... Avoir compris puis su dire que cette histoire n'est pas seulement celle d'une analyse râtée mais mais aussi l'éveil vers le monde de l'art. La couleur, la peinture... Les sons... menant vers un invisble ailleurs.
Souvent le sous-titre de ce récit déconcerte. Certains le ressentent provoquant. Sans vouloir remettre en cause le métier d'analyste il a pour volonté de dénoncer un titre usurpé puis de faire valoir que de cette tourmente infernale surgit la force de vivre et le désir de créer.
Musicienne, elle se laisse porter par les sons. Ceux au pafum "Air du temps". Ses intonnations chantent, roulent les r sur un ton espiègle et plein d'esprit .
Son regard, ses mots m'impressionnent. Ils sont ceux d'une étrangère face à mon écriture, à la mesure de mon existense, la sienne aussi...
De la nuance avant toute chose. De la musique des mots.
Le passé, l'avenir se mêlent et donnent le ton d'un présent indéfinssable dont pourtant la mèmoire se souvient.
Notes et regards s'égrènent sur une jeunesse, une silhouette quelque peu vaporeuse avant de sombrer vers l'âge mûr. Les yeus s'étiraient, brûlaient de fatigue sur l'infini... vers la comédienne... la maturité. Mais la peinture précéda les mots... L'art fut une renaissance...
Merci, Elena pour cette lecture approfondie et sensible... Avoir compris puis su dire que cette histoire n'est pas seulement celle d'une analyse râtée mais mais aussi l'éveil vers le monde de l'art. La couleur, la peinture... Les sons... menant vers un invisble ailleurs.
Souvent le sous-titre de ce récit déconcerte. Certains le ressentent provoquant. Sans vouloir remettre en cause le métier d'analyste il a pour volonté de dénoncer un titre usurpé puis de faire valoir que de cette tourmente infernale surgit la force de vivre et le désir de créer.