A Paris, vers la fin des année 70. Une jeune femme se heurte aux méthodes de tout un milieu âpre et cruel...
Peu à peu, la lumière s’estompait. Le paysage se diluait dans la brume
verdissante du crépuscule. Il fallait retourner au château
Le soir devenait bleu de Prusse. La lune dessinait son teint de porcelaine sur un ciel d’estam-pe japonaise.
« La lune c’est vous », dit-elle.
Les mots clapotaient sur l’eau comme des petits cailloux.
Claire et ronde, la lune glissait entre les tours du château pour se pencher en révérence, au dessus de nous. Témoin silencieux du déclin de cette amitié.